• IVeme CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LA RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ORGANISATIONS :

    DE L’ENGAGEMENT AU REPORTING :

    LA DOUBLE FACE DE LA RSE/ƧƎЯ RSO/OƧ

     

    Marrakech, du 1er au 5 mars 2016 

     Au Centre Régional des Métiers de L’Éducation et Formation

    Section Méchouar El Kasba Medina (à côté du Palais Royal)

  • L’Alliance Internationale de Centres de Recherches Interdisciplinaires (AICRI, Maroc), en partenariat avec la Chaire de Responsabilité Sociale et de Développement Durable (CRSDD) de l’École des Sciences de la Gestion et le Latèce de l'UQAM, l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès, le CERAPE (FSEJ Université de Fès), Centre for Leadership Excellence (Sobey, Business School, Université Ste-Mary’s, Canada), Nabta, le LARIME, la Chaire du Changement (ESSEC, France), la Chaire RSE (IHEC, Tunisie), le laboratoire LIGUE (ISCAE, Université de Manouba, Tunisie), ainsi que le Lapired (UQTR, Canada), co-organisent la IVème Conférence sur la Responsabilité Sociale des Organisations : « De l’Engagement au Reporting: la Double Face de la RSE/ƧƎЯ RSO/OƧЯ», conférence internationale regroupant le plus grand réseau de chercheurs francophones en responsabilité sociale des entreprises (RSE) à Marrakech du 1er au 5 mars 2016.

     

    La conférence sera jumelée à un atelier de recherche dédié aux jeunes chercheurs et aux doctorants incluant un séminaire de rédaction de textes scientifiques se tiendra les 1er et 2 mars et une simulation («in basket») impliquant les participants de la conférence clôturera la conférence le 5 mars en soirée.

     

    Cette manifestation scientifique se distingue des autres par un partenariat exceptionnel, à savoir avec la revue Management International (Mi). En effet, «fidèle à sa mission d’accompagner et de soutenir les chercheurs en émergence porteurs de problématiques, idées, recherches novatrices ou pouvant contribuer au corpus des connaissances en management général à l’échelle internationale, la revue MI, classée au rang ‘’A’’ du HCEERS-2015 et dans la catégorie 2 du classement effectué par le Collège des associations savantes de la FNEGE-2013, s’associe à la conférence co-organisée par l’AICRI : DE L’ENGAGEMENT AU REPORTING : LA DOUBLE FACE DE LA RSE/ƧƎЯ RSO/OƧЯ. Les travaux de recherche présentés et considérés innovants par le comité scientifique de la conférence seront retenus pour une publication éventuelle dans Mi après la prise en compte des suggestions et exigences formulées par les évaluateurs de MI selon les pratiques et règles de l’anonymat double ».

     

    Durant la dernière décennie la Responsabilité Sociale et Environnementale des entreprises (RSE), ou des organisations (RSO) a fait l’objet d’un impressionnant nombre de conférences, colloques, débats publics, institutionnels et de tables rondes et ce, dans diverses disciplines : gestion, économie, droit, sociologie, génie industriel, médecine etc.

     

    Considérée comme une «mode» par Wall Street qui défendait le modèle néo-classique, traditionnel de gestion, la RSE-RSO est désormais devenue incontournable. En effet, la succession de catastrophes environnementales (Total, BP), sociales (Rana Plaza), les malversations financières doublées de la quasi-impunité des responsables, les multiples mises à pied adossées à des parachutes dorés questionnables, la montée en puissance des réseaux sociaux et de leur force en tant outil de mobilisation pour diffuser les informations et coordonner des actions sont autant de facteurs qui ont contribué à faire de la RSE/RSO une composante de la stratégie des entreprises, des organisations lucratives ou non, mais aussi des autorités et gouvernements.

     

    Si divers acteurs, chercheurs, politiciens, syndicalistes, associations diverses etc., ont défini, intégré la RSE/RSO et qu’il est aujourd’hui indéniable que cette tendance est irréversible; plusieurs voix s’élèvent pour questionner la réelle portée de la RSE/RSO, si sa mission première n’est pas détournée par des acteurs moins bien intentionnés, si la prise de conscience de la nécessité que l’entreprise ou que toute entité assume et prenne en charge «ses» externalités ne conduisent à des demandes irréconciliables et conflictuelles….

     

    Il est maintenant clairement démontré que «ne pas être RSE/RSO» est coûteux pour les entreprises qui voient leur risque «réputationnel» et leur coût de leur capital augmenter au point où les chiffreurs de risque MSCI et Bloomberg ont depuis les 5 dernières années intégré les risques «extra-financiers» à leurs cotations des entreprises voire des États. S’il est aujourd’hui reconnu que «ne pas être RSE/RSO» ne permet pas de maximiser la richesse des actionnaires, credo des néoclassiques, il est difficile pour ne pas dire impossible, d’évaluer financièrement et socialement le fait d’être RSE/RSO.

     

    Les facteurs explicatifs sont nombreux : Est-il possible de mesurer et apprécier la RSE/RSO? Qui la mesure? Qui évalue et assure la qualité des évaluateurs? La complexité et le coût de l’engagement dans le processus de RSE/RSO sont-ils supportables pour la PME, la TPE? La RSE/RSO : l’inaccessible Étoile?

     

  • DATES IMPORTANTES

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  • INDICATEURS AUX AUTEURS

    L’ensemble des propositions doit être envoyé à l’adresse : conference.aicri@gmail.com

     

    Pour l’ensemble des propositions, les auteurs devront respecter le format suivant :

    1. Format A4 ou 8½ x 11 accepté
    2. Marges (supérieure, inférieure et latérales) de 2,5cm.
    3. Police : Times New Roman (12 points), interligne un et demi et justifié.
    4. la hiérarchie des titres ne dépassera pas 3 niveaux :
      • niveau 1 : un chiffre (1. par exemple), titre en Times 12 gras et majuscules
      • niveau 2 : deux chiffres (1.1. par exemple), sous-titres en Times 12 gras et petites majuscules
      • niveau 3 : trois chiffres (1.1.1. par exemple), sous-titres en Times 12 gras
    5. Les pages numérotées seront sans en-tête ni pied de page.

    Toutes les propositions doivent comprendre les deux pages de présentation suivantes (celles-ci ne sont pas comptées dans le nombre de pages maximal)

    • La première page, non numérotée, comprendra uniquement :
      • le titre de l’article (Times 18 gras) ;
      • le(s) nom(s) de(s) auteur(s) et leur affiliation (Times 14 gras) ;
      • l’adresse postale et électronique, le téléphone et le fax de l’auteur à qui la correspondance doit être adressée (Times 12) ;
      • un résumé à interligne simple d'environ 500 mots, contenant notamment l’objectif de la recherche, les éléments essentiels de son cadre théorique et méthodologique ainsi que ses principaux résultats (Times 12, justifié) ;
      • un maximum de cinq (5) mots clés (Times 12).
    • La deuxième page ne doit contenir que le titre de l'article et le résumé ; elle ne doit pas mentionner le nom de l’auteur ou des auteurs.

     

    Les auteurs sont priés d'utiliser les styles MS Word appropriés (notamment pour les niveaux de titres ou sous-titres : Titre 1, 2, ...), d'éviter l'utilisation de caractères gras ou en italique, de ne pas souligner les titres, de limiter le nombre de notes (qui seront le cas échéant renvoyées en bas de page) et d'insérer les tableaux et figures dans le texte aux bons endroits.

     

    À la suite de l'article, on fera successivement apparaître :

    1. les références bibliographiques, par ordre alphabétique des auteurs
    2. les éventuelles annexes désignées par des lettres.
    3. Les tableaux et figures doivent être intégrés dans le texte, avoir un titre et être appelés dans le texte.
    4. Les notes nécessaires seront mises en bas de page.
    5. Les références dans le texte doivent être citées en mettant entre parenthèses les noms des auteurs et l'année de la référence. Les références ou citations de papiers non publiés sont à éviter.
    6. Les références seront listées en fin d'article, sur une page séparée intitulée « Références », selon le standard suivant :  

     

    Pour un article:

     

    Campbell, J.L. (2007), “Why should corporations behave in socially responsible ways? An institutional theory of corporate social responsibility”, Academy of Management Review, Vol. 32 No. 3, pp. 946-67.

     

    Pour un chapitre dans un ouvrage :

     

    Kurucz, Elyzabeth, Colbert, Barry A., Wheeler, David. 2008. “The business case for corporate social responsibility”, In Crane, A., McWilliams, A”, Matten, D., Moon, J., Siegel, D.S. (Eds.) The Oxford Handbook of Corporate Social Responsibility, Oxford University Press, p.83-112.

     

    Pour un livre :

     

    Carroll, A. (2007), “Corporate social opportunity”, in Visser, W., Matten, D., Pohl, M. and Tolhurst, N. (Eds), The A to Z of Corporate Social Responsibility, Wiley, Chichester, pp. 119-31.

  • COMITÉS 

    • Comité scientifique restreint:

       

      Mzali Bouchra, ESG-UQAM; CRSDD, G-AICRI, Canada et visiting professor at Toulouse Business School.

      Hervieux Chantal, Saint Mary’s University, Canada.

      Mhmdi Mohamed, Université de Fès, Maroc

      Jacques Igalens, IAE Toulouse, France.

      Wafaa Roudies Guedira, Ecole Nationale d’Administration Publique, Rabat, Maroc.

      Pasquero Jean, ESG, UQAM.

      Badr Habba, ENCG, Université Cadi Ayyad, Marrakech.

      Nabil EL Mabrouki, ENCG, Université Cadi Ayyad, Marrakech.

      Bouslah Kais, University of St Andrews, Écosse.

      Khlif Wafa Toulouse Business School, France.

      Méndez-Rodríguez, Paz, Université d’Oviedo, Espagne.

      Homayoon Shalchian, Homayoon, Sudburry Universiy, Canada.

      Anissa Ben Hassine, ESSECT, LARIME, Tunisie.

      Perez-Gladish, Blanca; Université d’Oviedo, Espagne.

      Pesqueux, Yvon, CNAM, France.

      Zeribi, Olfa, IHEC, Tunisie.

      Lang, Pascal, Université Laval, Canada.

      Marhfor Ahmed, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, UQAT, Canada.

      Ghilal Rachid, Université du Québec à Rimouski, UQAR, Canada,

      Hmaittane, Abdelmajid, ENCG, Agadir, Maroc.

      Salma Damak, IHEC, Tunisie.

      Assya Khiat, Université d'Oran Es Sénia, Algérie.

      Tebini Hager, ESG-UQAM, CRSDD, Canada.

      Ouenniche, Jamal, University of Edinburgh, Écosse.

       

      Comité d’organisation

      Mhmdi Mohamed, Université de Fès, Maroc

      Trid Sabah. Université Sidi Mohamed Ben Abdellah- Fès

      Chafik Massane, doctorant à l’Université de bordeaux.

      Mzali Bouchra, ESG-UQAM; CRSDD, G-AICRI, Canada et visiting professor at Toulouse Business School.

      Hervieux Chantal, Saint Mary’s University, Canada,

      By Bouchra, doctorante UAG, Ceregmia, France.

      Roudies Wafae, ENA, Maroc.

      Chehbouni Ahmed, UCAM, Maroc.

      Lazerek Mohamed, UCAM, Maroc.

       

      Comité scientifique élargi:

      Peretti, Jean-Marie, ESSEC, Chaire du Changement, France.

      Elhiri Abderrazak, Université Sidi Mohamed Ben Abdellah- Fès, Maroc.

      Saadani Elghali. Université Sidi Mohamed Ben Abdellah- Fès, Maroc.

      Karimi Taoufiq. Université Sidi Mohamed Ben Abdellah Fès, Maroc.

      Haoudi Amina. Université Sidi Mohamed Ben Abdellah- Fès, Maroc.

      Ramboarisata, Lovasoa, ESG-UQAM, OSE, Canada.

      Jan Jonker, chercheur invité, Toulouse Business School, France.

      Turcotte Marie-France, ESG-UQAM.

      El Badraoui Khalid, ENCG, Agadir, Maroc.

      Lilti Jean-Jacques, IGR, Rennes, France.

      Mazouz Bachir, ENAP, Canada.

      Jouhaina Gherib, ISCAE-Université Manouba, Tunisie.

      Alain Klarsfeld, Toulouse Business School, France.

      Raufflet Emmanuel, HEC Montréal, Canada.

      Celimene Fred, UA, Ceregmia, France.

      Kinvi Logossah, UA, Ceregmia, France.

      Sadok Hocine, UHA, Université de Strasbourg, France.

      Marie-Aude Dupont Abid, IAE, CRM, Toulouse, France.

      Tarek Abid, CRM, Toulouse, France.

      Chafik Bentaleb, ENCG, Université Cadi Ayyad, Marrakech.

      El Kandoussi Fatima, ENCG, Agadir, Maroc.

      El Abboubi, Manal, Université, Rabat, Maroc.

      Erick Leroux, Université de Paris 13-Sorbonne Paris Cité, France.
      Mili Hafedh, UQAM, Latece, Canada. Mhmdi Mohamed, Université de Fès.

      Obaid Abdelatif, UQAM, Latece, Canada.

      Frimousse, Soufyane, ESSEC, Chaire du Changement, Université de Corse, France.

      Denis Gnanzou, ESC Larochelle, France.

      Serge Nomo, UQTR, Lapired, Canada.

      Tahiri Najoua, CRM, IAE Toulouse, Université de Montpellier, France.

      Unsal Odzilek, ESG-UQAM, Canada.

      Elechmit, Jamal, ISIAM, Universiapolis, Maroc.

      Bouslikhane Aziz, ISIAM, Universiapolis, Maroc.

      Gibassier Delphine, Toulouse Business School, France.

       

  • TYPES DE CONTRIBUTIONS

    Cette conférence est l’occasion d’innover dans la diffusion des recherches mais aussi dans sa structuration. Ainsi, en plus des propositions de communications, de tables rondes ou de panels d’experts, ou de visite d’organisation reconnue pour sa contribution à la RSO, toute autre proposition visant l’avancement/ consolidation des connaissances, ou des questionnements dans les champs connexes peut être soumise au comité scientifique.

     

    Ainsi, cette conférence innove en introduisant une simulation (étude de cas «live») de l’interaction de diverses parties prenantes dans le contexte d’une «entreprise socialement responsable» qui doit gérer diverses informations remettant en cause sa réputation et sa performance ESG (Environnementale, Sociale, et de Gouvernance). Les acteurs de cette simulation sont des chercheurs aguerris ou en émergence de diverses disciplines, des représentants de la société civile et des ONG, des dirigeants d’entreprise, des journalistes, des «blogueurs» et évidemment des doctorants.

     

    En plus de ces innovations en termes de diffusion des connaissances, les autres modes de contribution sont encouragés, à savoir : communications et tables rondes.

     

    Les communications soumises peuvent présenter des résultats d’études empiriques, la proposition de nouveaux cadres conceptuels, une réflexion sur l’état des connaissances actuel. Deux types de communications sont acceptés : communications pour présentation seulement (7 pages maximum, y compris les notes de fin de document, la bibliographie et les annexes), et communications pour présentation avec soumission d’un article long (20 pages maximum, y compris les notes de fin de document, la bibliographie et les annexes).

     

    Seules les communications avec article long pourront, si les évaluateurs jugent leur contribution significative ou originale, être soumises pour diffusion dans l’un des trois media suivants :

    1. Publication éventuelle dans la revue Management International (Mi), revue classée A par HCEERS-2015 et « Catégorie 2 » par la FNEGE. Dans un tel cas, le format des manuscrits devra être conforme aux politiques éditoriale et rédactionnelle de la revue Mi : http://www.managementinternational.ca/catalog/ rubrique « Auteur »
    2. Publication dans un collectif ; ou
    3. Publication dans les actes de conférence.

     

    Le corps de la proposition de communication pour les recherches empiriques doit comprendre trois sections. La première section qui présente la revue de littérature pertinente, l’objectif, la question de recherche principale et la contribution de la proposition. La deuxième section présente la méthodologie. La troisième présente les contributions pratiques potentielles, les résultats lorsqu’ils sont disponibles, les limites de l’étude ainsi que les pistes de réflexions pour les recherches futures. Les références, les tableaux et les figures seront présentés à la fin du document.

     

    La proposition de communication de nature théorique/conceptuelle devra comprendre une revue de littérature pertinente et une démonstration claire de sa contribution par rapport à la littérature existante. Tout comme les propositions empiriques, les références, les tableaux et les figures devront être présentés à la fin de l’article.

     

    Les propositions de tables rondes ou panels visent à réunir des experts reconnus dans leur domaine, qu’ils soient chercheurs, gestionnaires, militants, membres d’ONG ou représentants politiques et ce, autour d’une thématique importante et pertinente au domaine particulier de la RSE/RSO.

    En cas d’acceptation, les intervenants, en plus de partager leurs connaissances, analyses et expériences, seront invités à débattre et répondre aux questions de l’auditoire.

    La proposition de table ronde résumée en 3 pages maximum, comprend trois sections. La première présente le titre, l’objectif et la pertinence de cette table ronde; ainsi qu’un exemple des questions autour desquelles débattront les participants. La deuxième section présente les participants (ceux-ci devront avoir préalablement indiqué leur accord), leurs coordonnées ainsi que la pertinence de chaque participant pour la table ronde – ici l’on veillera à préciser leur expertise sur le sujet. Finalement, la troisième section présente le déroulement anticipé de la table ronde, et ce, en tenant compte que sa durée qui sera de 90 minutes dont 30 minutes devront être consacrées à des échanges avec l’auditoire.

     

    Le responsable de chaque table ronde pourra soumettre une synthèse des échanges, synthèse qui, si les évaluateurs jugent sa contribution significative ou originale, pourra être soumise pour diffusion dans l’un des deux médias suivant : une des revues classées partenaires ou un collectif.

     

    Le nom du fichier de toute soumission doit respecter la règle suivante : nom et la première lettre du prénom du premier auteur avec une extension doc ou pdf.

  • PROGRAMME ATELIERS DE RECHERCHE

    • JOURNÉES DE RECHERCHE : 1ER MARS ET 2 MARS

       

      Au Centre Régional des Métiers de L’Éducation et Formation

      Section Méchouar El Kasba Medina (à côté du Palais Royal)

       

      ATELIERS DE MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE:

      Jeunes chercheurs et Doctorants (en priorité)[1]

      (Doctorants et Jeunes Chercheurs Tunisiens à distance)[2]

       

      [1] Étant donné que l’objectif de ces 2 journées est d’apporter une RÉELLE contribution et support aux chercheurs en émergence (enseignants qui s’investissent de nouveau dans la recherche, ou jeunes chercheurs et doctorants, une formule «personnalisée» a été privilégiée. Les chercheurs impliqués dans ces ateliers travailleront en étroite collaboration avec les participants et leur nombre sera donc limité, et la priorité est accordée aux chercheurs en émergence.

      [2] Les participants à ces journées pourront participer à distance aux Doctoriales qui auront lieu en Tunisie à IHEC par viso-conférence par le biais du partenariat AICRI- Chaire de Responsabilité Sociale d’HEC qui auront lieu du 28 avril au 3 mai 2016

     

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  • Programme préliminaire

    • CONFÉRENCE : 3 MARS ET 4 MARS

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  • HEBERGEMENT

    Le comité d'organisation propose aux participants les possibilités d’hébergement suivantes:

    • Hébergement dans le Club de l'Université: ( Photos en bas) 

    - 2 bungalows sont réservés aux participants de la conférence pour le 1 et le 2 Mars 2016 (un bungalow : un salon avec 6 lits et une chambre indépendante 300 dh/nuit).

    - 4 chambres pour le 3,4 et 5 mars ( 3 lits dans chaque chambre : 120 dh/ nuit par personne).

    • Hôtels : El Andalous (Prix : 600 dh en chambre double)
    Pour connaitre l'emplacement géographique de ces propositions et du lieu de la conférence:
    Centre Régional des Métiers de L’Éducation et Formation Section Méchouar El Kasba Medina (à côté du Palais Royal)
     
    Merci de cliquer sur la carte

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  • Pour joindre le centre

    Numéro de téléphone à joindre en cas de besoin : 

    coordinatrice Tidafi 06 62 88 66 48

    Si vous prenez un taxi, demander au chauffeur de vous emmener au centre qui se trouve sur la route Mechouar, et si vous empruntez la porte Kasba, c'est la deuxième entrée (pas rue) sur la droite dès que vous passez la porte, si vous arrivez sur la rue Mechouar par la porte Mechouar il faut rouler jusqu'à la porte Kasba et le centre est à votre gauche .

    Au plaisir de vous y voir!